Tout d'abord, cet amendement pose problème sur la forme en ce qu'il ne précise pas quelles collectivités pourraient être bénéficiaires et sous quelle forme. Il est donc inopérant. Sur le fond – et j'en profite pour répondre à notre collègue Sansu –, quelque chose nous sépare. En ce qui me concerne, je suis favorable à la libre administration des collectivités territoriales, principe qui est d'ailleurs affirmé par notre Constitution. Je m'inscris dans cette ligne-là. Les collectivités territoriales sont responsables de leurs décisions.