Or, je ne vous l'apprendrai pas, le montant des loyers est largement supérieur à celui des APL. Madame la ministre, vos calculs ne sont pas bons !
Vos mensonges sont confirmés par les files d'attente qui s'allongent devant les distributions alimentaires. Aujourd'hui, être étudiant, c'est être pauvre ; être étudiant, c'est souvent enchaîner les galères et les petits boulots. Alors quand les partiels arrivent, comment parler d'égalité entre ceux qui ont la chance d'être aidés et les autres ?
Il y a quelques jours, dans votre réponse à la vidéo de Maëlle, cette étudiante qui survit avec 100 euros par mois, vous avez affirmé que vous étiez déterminée à aider les étudiants précaires.