Monsieur le député, je ne peux pas vous laisser utiliser la précarité des étudiants pour faire croire que le Gouvernement vous a attendu pour agir. Dès le mois de juillet, nous avons annoncé 300 millions d'euros de mesures d'urgence pour cette rentrée. Je ne veux pas non plus que vous laissiez croire que le Gouvernement n'a pas pris en compte tous les aspects de la précarité étudiante et que la seule réponse à l'inflation a été l'augmentation de 4 % des bourses.
Nous avons mis sur la table plusieurs mesures d'urgence : une aide exceptionnelle de solidarité de 100 euros pour plus de la moitié des étudiants ,