Cette brutalité a un nom, un visage : le vôtre, madame Borne.
Aujourd'hui, nous discutons d'une motion de censure, en application de l'article 49.3, dont le recours à son application n'aura pas fait couler d'encre dans les rédactions. Un 49.3 dont il y a fort à parier qu'une large partie de nos concitoyens n'auront même pas entendu parler. L'objectif est donc atteint pour vous : le 49.3 devient un usage. À n'en pas douter, vous en userez à l'occasion de votre sinistre réforme des retraites dont les Français, là encore, ne veulent pas. Car voilà le projet politique de la Macronie : pousser les limites de la brutalité afin de la rendre acceptable.