La France s'est en effet illustrée par l'enveloppe de 35 millions d'euros destinée à aider les pêcheurs à faire face à la hausse des prix du carburant.
Je vous invite à me communiquer la liste des pêcheurs qui n'ont toujours pas obtenu leur licence. Nous œuvrons quotidiennement pour récupérer l'ensemble de ces licences – 97 % d'entre elles ont été obtenues. Nous avons déployé un plan d'accompagnement individuel, doté de 60 millions d'euros, pour permettre à ceux auxquels nous ne pouvons offrir de solution de sortir dignement de leur métier.
Nous avons évoqué la senne démersale dès notre première réunion avec les pêcheurs de Boulogne-sur-Mer en juillet. L'arbitrage revient aux comités régionaux de pêche. Je ne doute pas qu'une solution sera trouvée, malgré la multiplication des difficultés, posées par le Brexit et le report des zones de pêche en raison du développement des énergies marines renouvelables.