L'amendement précédent visait à répondre aux difficultés dues au manque d'investissements et aux surcoûts énergétiques. Celui-ci concerne les emplois.
Selon le rapport Tiegna-Préville, les violations du droit du travail sont récurrentes à l'Ipev : des chauffeurs y travaillent parfois de sept heures à vingt-et-une heures trente chaque jour de la semaine ; certains contractuels peuvent accumuler vingt ou trente heures supplémentaires par semaine non rémunérées. De telles conditions de travail auraient valu à une autre entreprise une grève reconductible !
L'an dernier à la même époque, la ministre chargée la recherche, Mme Frédérique Vidal, nous incitait à soutenir la recherche polaire française. Il nous reste à passer aux actes en finançant 5 ETP supplémentaires en 2023.