Il vise à doter le réseau consulaire, donc le service public français à l'étranger, d'un outil permettant de traiter la question de la dépendance. Il y a de plus en plus d'expatriés sociaux, c'est-à-dire des retraités modestes qui vont s'installer dans des pays comme la Tunisie, le Maroc ou le Sénégal. Lorsqu'ils tombent dans la dépendance, nos consulats sont dépourvus d'outils pour faire face. Le retour en France de nos compatriotes les plus vulnérables coûte cher à l'État français. Or il y a des moyens d'effectuer la prise en charge à l'étranger.