Cet amendement peu onéreux – 100 000 euros – vise à renforcer le financement de nos écoles au Burkina Faso. À la suite des récents événements, l'école de Bobo Dioulasso, en gestion parentale, et celle de Ouagadougou, en gestion directe, sont en tension, en raison du départ de plusieurs familles. Comme elles vivent de l'encaissement, trimestre après trimestre, des frais de scolarité, elles se retrouvent en forte difficulté financière. Il s'agit de maintenir l'enseignement français au Burkina Faso et d'envoyer un signal fort à la communauté française dans ce contexte tendu.