Il s'agit d'augmenter les moyens des services de santé universitaire, par souci de solidarité nationale, car nous refusons les distorsions de soins aux étudiants en fonction des revenus des familles.
La covid a eu d'importantes conséquences sur l'équilibre psychologique des étudiants. Ainsi, l'hôpital Sainte-Anne accueille majoritairement des étudiants, pour des problèmes d'addiction aux stupéfiants ou à l'alcool, la covid ayant attisé leur mal-être.