Je le soutiens. France Universités connaît la fourchette : entre 200 et 400 millions d'euros. Cet amendement permettrait d'être sûr que les universités auront les moyens de payer leurs factures énergétiques. Cela me paraît préférable à l'attente d'un PLFR. Les universités en difficulté commencent déjà à prendre des mesures, comme on l'a vu à Strasbourg – des fermetures administratives pendant certains mois d'hiver, des réductions de dépenses de personnel ou un passage en distanciel, ce qui n'est pas souhaitable. Il serait préférable d'avancer des sommes qui ne sont pas énormes, et d'ajuster éventuellement par la suite.