Cet amendement vise à recruter davantage d'éducateurs de la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ). Même si de petites augmentations ont été décidées dans le cadre de la loi programmation de la justice et de celle portant sur le code de justice pénale des mineurs, cette administration reste en difficulté et mériterait de disposer de moyens supplémentaires, surtout quand, dans le discours de la majorité et du Gouvernement, on fixe l'ambition d'un meilleur accompagnement des mineurs en conflit avec la loi.
Ces 2,2 millions d'euros permettraient de recruter 1 200 éducateurs de la PJJ supplémentaires.