La formation de professionnels de santé en plus grand nombre est essentielle pour remédier à l'inégalité d'accès aux soins à l'heure où près d'un tiers des Français vivent dans un désert médical.
Or, malgré la suppression du numerus clausus, le nombre de places en études de médecine reste limité. Le passage de la première à la deuxième année faisait encore de très nombreux déçus en juillet dernier. Combien d'étudiants supplémentaires ont pu poursuivre leur cursus depuis la levée du numerus clausus ? Quels moyens comptez-vous mettre en œuvre pour accroître le nombre de places effectives ?
Dans les études d'infirmiers, on observe des défections, dues en grande partie à une sélection inadaptée par Parcoursup – ce que confirme un rapport du Sénat publié fin mars. Comment mieux sélectionner et accompagner les étudiants afin d'éviter ce décrochage ?