J'associe à ma question mon collègue Emmanuel Pellerin.
À la demande récurrente du Parlement, et parce que les différents PIA n'en avaient pas fait leur priorité, le plan de relance a inclus un programme ambitieux de rénovation énergétique du bâti universitaire et d'une partie des 18,5 millions de mètres carrés d'établissements, de laboratoires et de réseau des œuvres universitaires, parfois très énergivores puisque ayant pour la plupart vu le jour entre les années 1960 et les années 1980. Plus de 1 000 projets ont été retenus, pour 1,3 milliard d'euros ; les chantiers doivent se terminer fin 2023. Cet investissement majeur est une très bonne chose pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, faire des économies de fonctionnement, améliorer la qualité de vie des usagers et des personnels et pour le secteur du bâtiment et des travaux publics.
Quel bilan d'étape en tirez-vous ? Plus généralement, la maintenance des travaux dans les bâtiments est-elle suffisamment prise en compte dans les dialogues stratégiques et de gestion avec les universités ?