Selon l'association Règles élémentaires, la précarité menstruelle touche entre 1,7 million et 2 millions de Françaises. Plus largement, le tabou autour des règles existe encore et peut être un frein à la vie sociale, plus spécifiquement ici à la pratique sportive. Nous proposons de créer un fonds pour équiper les bâtiments sportifs de distributeurs de protections hygiéniques.
La santé menstruelle des femmes sportives de haut niveau est un enjeu majeur pour leur bien-être et leurs performances. Nous proposons d'augmenter la subvention de l'Insep afin de lancer un programme de recherche et d'actions en la matière. Celui-ci permettrait de disposer de données médicales et psychologiques complètes et d'élaborer des axes de formation et d'accompagnement sur mesure des sportives, des cadres et des coachs, ainsi que le recommande Sarah Ourahmoune.