Le nombre de Bafa délivrés chaque année a baissé de 10 % en vingt ans. Il était indispensable de repenser le secteur de l'animation, dont on connaît l'importance, notamment pour les familles défavorisées. Les Assises de l'animation ont permis d'apporter des réponses en urgence, comme l'abaissement à 16 ans de la formation au Bafa ou l'aide supplémentaire de 200 euros. Mais il faut aller plus loin et s'attaquer à la rémunération, trop faible, et au temps partiel subi par les animateurs, ainsi qu'à l'érosion de la mixité sociale dans les colonies. Quels sont les priorités et le calendrier du comité de filière animation ?