Le SNU monte en puissance. Parmi les 32 000 participants cette année, il semble que les Franciliens étaient sous-représentés, de même que les jeunes issus des QPV, les élèves de la voie professionnelle ou encore les habitants de zone rurale. Un grand nombre d'engagés viennent de familles plutôt aisées et ont un parent qui a déjà travaillé pour l'une des armées. Quelles actions permettront de renforcer la mixité parmi les effectifs, portés à 64 000 l'an prochain ?