Nous devons opérer une transition. La vérité, c'est qu'à force de promettre des bifurcations, on rend le système instable et l'action impossible. On a besoin d'avoir accès à l'eau. Premièrement, comme vous l'avez souligné, ce n'est pas simplement vous ou nous qui le disons, mais le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) qui affirme que la quantité d'eau qui tombera sur le sol français sera à peu près équivalente. Simplement, nous devrons faire face à une arythmie pluviométrique. Il faut donc que, dans les périodes où tombe plus d'eau que d'habitude, nous puissions la récupérer afin de la restituer pendant les périodes où il y en a moins.