Stocker une partie infime de l'eau l'hiver, quand elle est abondante, suffirait, sans qu'il soit nécessaire de remettre en cause les équilibres. Dès lors que la prochaine pénurie qui nous guette touchera nos assiettes, la première des priorités est le stockage de l'eau. Tout autre choix nous condamnera à manger russe, brésilien ou américain, à manger des produits qui ne respectent pas nos normes et dont nous ne voulons pas.
Monsieur le ministre, nous avons vu dans le domaine de l'énergie où nous a conduits l'écologie radicale : dans le mur ! Ne reproduisons pas mêmes erreurs pour notre agriculture et notre alimentation.