Quatrième fait : je suis en train de préparer la COP27, et je peux vous affirmer que la position française est des plus ambitieuses. Nous avons porté de 5 à 6 milliards les moyens consacrés à l'accompagnement des pays en développement, augmenté les crédits dédiés à l'adaptation au changement climatique, et nous serons, à la suite du Président de la République, extrêmement offensifs afin d'obtenir non seulement que chaque pays accroisse comme nous ses engagements nationaux, mais que les États les plus pauvres soient mieux accompagnés dans leur propre adaptation, ainsi que dans leur anticipation des pertes et dommages liés au réchauffement. Tout bien considéré, je ne crois pas que nous ayons beaucoup de leçons à recevoir !