Je le redis, nous sommes arrivés, non pas à reculons, mais avec une certaine appréhension, monsieur le ministre délégué. Et voici la dernière expression créole de la soirée : pa kapab lé mor san esayé – celui qui n'est pas capable est mort sans avoir essayé ».
On s'est aussi dit : tipa tipa narivé, on y arrive à petit pas. C'est exactement ce que nous avons fait : nous avons avancé à petits pas et nous avons fini par construire quelque chose qui nous a satisfaits. Alors merci à tous !