Il vise à étendre le passeport mobilité aux personnes engagées dans un parcours de validation des acquis de l'expérience (VAE). On connaît la situation économique et sociale, pourtant de nombreux secteurs, notamment la culture et l'artisanat, bénéficient chaque année d'un regain d'intérêt et suscitent corollairement une éclosion d'initiatives associatives. Très souvent engagées dans des projets de forte valeur pour leur territoire, celles-ci font appel à des bénévoles ou à des professionnels, qui recourent à leurs connaissances traditionnelles et empiriques pour encadrer le public et transmettre leurs compétences. Beaucoup ne peuvent accéder à la VAE, parce qu'ils n'appartiennent pas aux publics ciblés par les dispositifs de mobilité de Ladom, qu'il s'agisse du passeport mobilité formation ou du passeport mobilité étude.
J'insiste sur l'importance de ce dispositif, particulièrement pertinent, qui vise à réparer cette injustice.