Je le rappelle une fois de plus : l'eau est un droit absolu et nous devons toujours travailler à résoudre les problèmes qui le mettent en péril. Madame Youssouffa, deux problèmes immédiats se posent, et ce ne sont pas des problèmes d'argent. Premièrement, il faut délimiter la troisième retenue collinaire, que j'appelle la « bassine ». Le terrain existe ; j'ai sollicité le président du conseil départemental de Mayotte, Ben Issa Ousseni, afin qu'il engage les choses très vite. Je ne doute pas qu'il le fera, mais ce n'est pas à moi de le décider – nous avons eu l'occasion d'en parler ensemble. Deuxièmement, il faut construire la seconde usine de dessalement d'eau de mer. Dans cette perspective, j'ai de nouveau sollicité M. Ousseni pour qu'il lance rapidement un appel d'offres. Nous sommes parvenus à mettre d'accord le département et la société concessionnaire – je m'en suis occupé à votre demande. Normalement, le problème a été réglé.