Je suis favorable au retrait. À défaut, l'avis serait défavorable. Je rappelle – mais il faut répéter les choses plusieurs fois – que d'ici quinze jours, un plan global sur le SMGEAG sera discuté et que nous trouverons les 30 millions supplémentaires nécessaires s'il était finalisé. Le coût de la remise en état du réseau est estimé non pas à 2 milliards mais à 800 millions, et ce sera déjà bien si nous parvenons à dépenser 80 millions d'euros par an. Et je rappelle que le plan à financer ne repose pas uniquement sur des subventions de l'État, mais qu'il recevra aussi des financements par des clients, par des prêts, par les collectivités locales et par le SMGEAG. Je suis donc confiant : cette année, nous financerons tout ce qui est nécessaire.