J'estime que le problème de l'eau est de la responsabilité première de l'État et qu'il doit y prendre sa part derrière les élus. C'est ce que nous faisons en Guadeloupe. Je redis que, d'ici quinze jours, toutes les parties prenantes – le syndicat, le conseil départemental, le conseil régional et le représentant de l'État – auront signé ce plan. Nous avons la même chose à Mayotte pour 411 millions d'euros.