Par effort de synthèse, je dirai que l'avis est défavorable pour les mêmes raisons que tout à l'heure, avec les mêmes réserves sur la faisabilité. Néanmoins, programme par programme, bâtimentaire ou immobilier, que la finalité soit militaire ou civile dans une emprise militaire – comme l'hébergement, qui est l'objet de l'amendement –, nous devons effectivement être bien meilleurs en matière non pas de communication mais de transparence, afin que les parlementaires et les citoyens puissent comprendre ce que nous faisons.
Plutôt que de prévoir des indicateurs un peu techniques – pour ne pas dire un peu technos – dans les documents budgétaires, il faut faire preuve d'une grande transparence. Cela peut même faire l'objet, de la part de la commission de la défense, d'une audition spécifique des différents cadres du ministère et, évidemment, de votre serviteur ou de la secrétaire d'État qui va se mobiliser pour bâtir une feuille de route concrète sur le sujet. Le ministère des armées doit montrer l'exemple, j'entends bien le message.