Je vous rejoins, monsieur le député : il y a une sous-capitalisation chronique pour les infrastructures et l'équipement de nos armées, alors que nous connaissons l'importance de la qualité du soutien, pourtant trop souvent délaissé au profit de l'opérationnel.
La restauration n'a pas échappé à cette règle, à tel point que le ministère a décidé d'externaliser une partie de cette fonction à l'économat des armées. Nous devons mieux doter la fonction restauration, c'est pourquoi j'invite mes collègues à voter l'amendement. Il n'a pas été examiné par la commission, il s'agit donc d'un avis personnel.