À défaut d'un retrait, l'avis sera défavorable. Un milliard d'euros en crédits de paiements : on n'en a jamais fait autant ! Il faut déjà arriver à les dépenser – pardon de le dire aussi trivialement. Ces dernières années, il y a eu 30 % d'augmentation sur cette ligne. Décidément, je n'identifie pas, au sein du ministère, un besoin opérationnel auquel nous aurions à répondre – sauf si on voulait faire de l'affichage politique.