Je ferai la même réponse que précédemment, mais en allant plus loin. D'abord, je rejoins votre constat d'un besoin de visibilité et de lisibilité accrues, y compris de façon territorialisée, pour chaque emprise.
Ensuite, pour ce qui est de la formation de celles et ceux qui sont susceptibles de prendre des décisions sur ces questions au ministère des armées, je précise que quatre actions de formation, dont la diffusion progresse bien, existent. Comme je l'indiquais dans le cadre d'une intervention auprès d'élèves polytechniciens – qui sont les cadres et les ingénieurs de demain et sont susceptibles de devoir trouver des solutions à ces défis –, le ministère des armées s'éveille à ces enjeux.
Enfin, merci d'avoir pris acte du fait que les équipes du ministère des armées avaient fait progresser les choses et de l'avoir écrit dans votre rapport, car je crois que ce constat a plus de poids quand il émane de vous que de moi.
J'émets un avis défavorable, avec pour objectif de mieux avancer sur cette question – car ce n'est pas en créant une ligne budgétaire supplémentaire que nous y parviendrons, comme je viens de l'expliquer.