Bien que de nombreux défis nous attendent, ne semons pas le doute : notre armée est engagée, professionnelle, même si elle a malheureusement ses veuves et ses blessés, et elle est dotée. J'ai entendu le cri du cœur venu de Polynésie, relayé par M. Chailloux ; nous connaissons l'histoire de ce territoire. Mais nous savons également ce que nous devons aux gaullistes, à Pierre Messmer, au général de Gaulle, en matière d'aventure et de dissuasion nucléaires : cette capacité nous permet aujourd'hui de nous défendre et de dissuader nos compétiteurs.