Pour le reste, on ne saurait se dispenser de cet outil.
Cette question m'a d'ailleurs été posée par des chefs d'entreprise qui souhaitent, dans le cadre du nouveau contrat d'emploi pénitentiaire que nous avons mis en place, faire venir le travail en détention. Or certains de ces employeurs ont bien sûr besoin d'internet.
Cela fait l'objet d'une réflexion. Voilà pourquoi je ne formule pas un non clair, net et précis. Je vous suggère un retrait, parce que nous travaillons sur cette question. Si vous souhaitez être associés à cette réflexion – de façon constructive –, vous êtes les bienvenus.