Tous vos amendements, sans exception, sont gagés sur les crédits de l'administration pénitentiaire. Vous proposez d'ouvrir les prisons et de libérer les délinquants – parfois en résidence un peu surveillée, mais sans plus. Si on supprime les prisons, il n'y aura plus de délinquance : le raisonnement est simpliste et il a le mérite d'être clair. Au moins les Français savent-ils exactement à quoi s'en tenir si vous preniez le pouvoir !