En l'état actuel des choses, il y a des mesures qu'on ne peut pas prendre. On peut entamer une réflexion autour de la possibilité de pousser les murs, comme le disait le garde des sceaux à l'instant. Mais aujourd'hui, une augmentation n'est pas possible. On ne peut pas voter des amendements qui nous apporteraient une certaine satisfaction, ici, entre nous, mais qui ne produiraient en réalité aucun résultat.
Il faut avoir un autre débat, se demander s'il serait possible d'augmenter les possibilités d'accueil en construisant des centres qui viendraient s'ajouter à l'École nationale des greffes.
En revanche, s'agissant de questions aussi importantes, il n'est pas possible de multiplier les incantations consistant à dire « y'a qu'à, faut qu'on » – c'est quasiment ce que vous dites – car c'est de nature à susciter des déceptions sur le terrain.