Il se fonde sur l'article 100, monsieur le président.
Quand nous avons débattu de la motion de censure relative au PLFSS en début de semaine, j'ai dit que l'examen de ce texte aurait pu commencer par trois coups de bâton annonçant la pièce de théâtre. Celle-ci se poursuit depuis quinze heures cet après-midi, et elle me semble plutôt triste.
Nous avons régulièrement demandé des éclaircissements et j'estime que notre travail parlementaire n'est pas pris au sérieux. Mais nous ne nous contenterons pas d'être spectateurs. Il est temps que le rideau se baisse : nous ne poursuivrons pas les débats.