Car, comme je vous l'avais dit, il n'a en aucun cas empêché la fatigue et les démissions. Il lui manque trois éléments indispensables : des moyens humains, financiers et techniques. Lors d'une séance de questions au Gouvernement, Olivier Véran, alors ministre des solidarités et de la santé, nous avait dit, lui aussi la main sur le cœur, qu'il allait nous transmettre les chiffres démontrant que nous avions tort. Nous les attendons toujours ! Nous risquons d'attendre encore, probablement parce que Mme Fiat avait raison et que les soignants continuent de démissionner.
Arrêtez d'exclure des salariés du Ségur et trouvez des solutions !