Le rapport remis en avril n'est pas favorable à l'extension de l'Ajpa aux aidants de personnes malades du cancer, car cette extension soulève la question de la différence de traitement entre citoyens. Il ne paraît en effet pas légitime d'ouvrir un droit aux seules personnes atteintes de cancer, alors que de nombreuses personnes souffrant d'une autre pathologie lourde pourraient légitimement y prétendre.