spéculer sur l'effondrement du pays est le calcul de ceux qui préfèrent le désordre – on l'a vu jusque dans notre assemblée –, pas le nôtre. Il y va de notre responsabilité de ne pas ajouter à l'inflation et à la récession que les Français doivent affronter, une instabilité politique qui paralyserait le pays.
Ces motions de censure, personne n'y croit donc vraiment aujourd'hui, à commencer par ceux qui les ont déposées.