Olivier Marleix :
Faudrait-il faire tomber le gouvernement parce qu'il y aurait dans cette assemblée une autre majorité possible, à partir d'une autre combinazione politique, comme celles dont se régalait le régime des partis sous la IVe République ? Là encore, je n'en vois pas, sauf si le rapprochement des extrêmes, à l'œuvre actuellement, va jusqu'à nous proposer un gouvernement commun. Faudra-t-il alors dissoudre cette assemblée pour en élire une autre ? Peut-être. Nous y sommes toujours prêts : retourner devant les électeurs est toujours un moment de bonheur.