Je m'étonne que vous affirmiez devant nous avoir pris connaissance du sujet seulement hier, alors que je vous ai moi-même exposé le problème en juillet dernier, lors de mon premier déplacement à Paris. Vous n'en avez donc pas tenu compte.
En tout cas, vous avez raison, augmenter le minimum vieillesse fait partie des moyens pour lutter contre la vie chère. Vous parliez également de préserver les cultures. Il est vrai que, si l'on ne réagit pas dès aujourd'hui, notre population partira vers la Nouvelle-Calédonie ou Tahiti, voire vers la métropole. Vivre avec 120 euros par mois est impossible alors que Wallis-et-Futuna est sans doute le territoire de la zone pacifique où la vie de tous les jours est la plus chère. Il convient effectivement de trouver très rapidement un moyen d'y remédier.