Peut-être que nous allons pouvoir avancer. Je veux d'abord vous remercier, monsieur Bazin, car vous êtes le premier à avoir reconnu que les amendements adoptés tendaient à retirer de l'argent à la médecine de ville, alors que le déni prévalait chez les orateurs précédents. Dans ces conditions, je comprends les députés qui ont rejeté l'article ainsi amendé : on ne peut pas priver notre médecine ville de 1,5 milliard d'euros.