Je pense, madame la présidente, que nous vivons un moment important. Le ministre délégué a pris la parole, chers collègues, pour vous expliquer le contenu des amendements. Bien sûr, c'est le droit de chacun d'entre nous de voter les amendements qu'il souhaite. Il vous a notamment expliqué qu'il y aurait, en cas d'adoption, 1,5 milliard de moins pour la médecine de ville. Je vous imagine, lorsque vous rentrerez dans vos circonscriptions, expliquer la situation à tous ceux qui, justement, disent qu'ils manquent de moyens !