J'aurais également pu citer le crédit d'impôt en faveur des bénévoles des associations qui font tant pour compenser les défaillances de l'État dans cette période de crise – par le biais d'un amendement que j'ai défendu l'été dernier lors des débats sur le projet de loi portant mesures d'urgence pour la protection du pouvoir d'achat, amendement alors rejeté avant d'être adopté vendredi dernier, donc, puis à nouveau supprimé du texte par le Gouvernement… Ces choix révèlent la nature de votre politique sociale, celle que nous évoquons en ce moment même : injuste, brutale et parfois déconnectée du terrain. Bref, des semaines de travail parlementaire ont été hier réduites à néant.