Et si ceux qui ne sont pas pour voulaient une Europe différente et acceptaient le principe de solidarité, considérant qu'il est normal que, de l'échelon municipal jusqu'à l'ONU, enceinte du multilatéralisme international, chacun paye selon ses moyens et profite selon ses besoins ? Le groupe GDR est celui qui défend en permanence le principe de la solidarité ! Nous n'avons donc aucun problème à le défendre à l'échelle européenne. Mais pour quoi faire, cette solidarité, madame la secrétaire d'État ? Ce que vous proposez ne correspond nullement aux aspirations que le peuple français a exprimées en 2005 en demandant une construction différente de l'Europe.