Cette réalité, nous ne pouvons ni la nier ni l'occulter. Si nous avons supprimé le numerus clausus en 2018, nous devons aussi dire les choses : cette situation durera encore plusieurs années.
Face à ce défi, nous devons activer tous les leviers. Le premier, c'est la prévention. À tort, on résume trop souvent la santé aux soins. La prévention consiste à faire des campagnes de santé publique, des dépistages et des bilans de santé aux moments clés de la vie. Bien au-delà, elle s'inscrit dans toutes les politiques publiques. Prévenir les maladies implique d'agir sur la qualité de l'air, l'habitat, les conditions de vie et les inégalités sociales, c'est-à-dire les principaux déterminants de la santé de chacun.
Le 22/07/2022 à 16:48, Aristide a dit :
" Si nous avons supprimé le numerus clausus en 2018, nous devons aussi dire les choses : cette situation durera encore plusieurs années."
Vous l'avez remplacé par le numerus apertus, quelle hypocrisie.
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