Dans notre charte, en tant que membres de l'Arda, il est stipulé très précisément que « nous devons être vigilants quant au pouvoir que confère notre métier. Par conséquent, nous ne saurions tolérer ni ambiguïté ni pression psychologique ou physique de la part de l'un d'entre nous ». Aujourd'hui, autour de cette table, nous sommes six personnes qui, chaque matin, se réjouissent d'exercer notre profession. Il est important de souligner les dysfonctionnements, mais il faut également reconnaître que, dans de nombreux cas, tout se passe bien.