Mme Gandossi, vous affirmez que, récemment, à la suite des déclarations de Judith Godrèche, la parole s'est libérée parmi les enfants ayant participé à des castings. Ces enfants auraient notamment subi des violences, car si la parole se libère, ce n'est pas pour dire que tout s'est bien passé. Certains parents se sont adressés à vous, confirmant que leur enfant avait été victime de violences sur un tournage, mais ils refusent de porter plainte par crainte pour la carrière de leur enfant. Lorsqu'un adulte choisit de ne pas porter plainte, c'est une décision personnelle. Cependant, pour un enfant, j'espère que tous les signalements que vous avez reçus ont conduit à des dépôts de plainte de votre part.