Le média Radio-Canada, notant que le président Donald Trump dénonçait les aides publiques dont bénéficiait l'agriculture canadienne, rappelait que ces subventions représentaient un peu moins de 10 % de la recette brute des agriculteurs en 2018, soit un niveau comparable aux montants versés en France. Pendant les négociations relatives au CETA, au cours desquelles vous avez joué un rôle central, vous justifiiez ce traité et les distorsions de concurrence associées par le fait que notre agriculture était plus aidée que les autres. Cet argument reposait-il sur une étude sérieuse ?