Je suis quelque peu embarrassé par votre question, Madame la députée, car nos invités n'ont pas été conviés pour répondre à cette interrogation, qui est pourtant très importante. Il s'agit de déterminer le comportement de l'État français dans ce département. Cette question ne relève ni de la compétence de notre commission, ni de celle de nos interlocuteurs. Je crois que vous devrez la poser dans d'autres instances. Mme la future rapporteure du projet de loi constitutionnelle de la commission des lois, présente parmi nous ce matin et que je salue, pourra elle-même aborder le problème intérieur de Mayotte. Ce sera sans doute un cadre plus approprié pour répondre à vos légitimes interrogations.