En revendant les produits 10 % plus cher, on a obtenu un gain global, mais celui-ci ne se retrouve pas dans le compte de résultat car des filières ont été aidées : celle du lait, comme l'a expliqué M. Cotillard, mais aussi celle qui fait de la compote de pommes en approvisionnement 100 % français, avec qui nous avons conclu un accord – nous avions d'ailleurs communiqué là-dessus à l'époque. Par ailleurs, pour que les prix ne soient pas significativement plus élevés chez Intermarché que chez nos compétiteurs, nous avons baissé ceux de certains produits. Au bout du bout, nos marges n'ont pas augmenté ; nous pourrons vous adresser les documents qui le montrent si vous le souhaitez.