Vous avez introduit le plan Écophyto II+, qui confirme l'objectif de réduire les usages de produits phytopharmaceutiques de 50 % d'ici à 2025. M. Didier Guillaume en a rappelé ce matin le caractère symbolique, au même titre que la réduction de 50 % de la part du nucléaire dans le mix électrique, fixée sur le coin d'une table sans réel avis scientifique. Cet objectif reposait-il sur une étude d'impact et de faisabilité ?