Nous suivons plusieurs indicateurs, dont le nombre de passages aux urgences, le nombre de séjours hospitaliers par type de pathologie ou de prise en charge, ainsi que le nombre de séances, par exemple, de chimiothérapie ou de dialyse par territoire. Cependant, nous ne disposons pas d'indicateurs pour évaluer le renoncement aux soins hospitaliers.
Concernant l'accès aux urgences, nous disposons du nombre de passages. Nous souhaiterions également travailler sur les délais d'attente et sur la présence d'un service d'urgence au sein d'un territoire. Nous suivons également la permanence des soins ambulatoires, c'est-à-dire les territoires couverts ou non pour l'accès à un médecin en cas d'urgence.